pic :elinkan.blogg.se
La ville me bouffe l'esprit et quand elle me lâche enfin je n'ai plus rien dans la tête. Je regarde par la fenêtre et je dévisage les grilles de lumière de l'immeuble d'en face, à peu près à ma hauteur un couple cuisine, ils en sont peut-être aux 3/4 de leur courbe de bonheur. Je leur souhaite bon courage car leur cuisine je la connais, même si je sais que je ne me prépare jamais les mêmes espoirs.
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