pic : ally hall
Lee Mortimer est un peu le Fu-Manchu de la techno. Petite phase breakdance pour mieux tromper son monde, grosse montée fumigène, basse fidget en rebonds grinçants qui se rembobine - débobine à l'infini. Quand la jeune fille maléfique de service invite à la décadanse ("PLAY WITH ME"), il te viendrait pas à l'idée de désobéir.
Green Velvet est passé de "Lalaland" à "Lalalalala", de la descente aux enfers à ce qui ressemble d'abord à une comptine acid soft, mais on sent que derrière les apparences le vice rode encore et toujours .
Je veux croire à un vrai retour en force des drogues chimiques, et de la bonne musique qui va avec.
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